Et ils le "vendent" ce truc-là, c'est fou, c'est fou ! et y a même pas de Perrier. La musique pleurnichiante est à s'ouvrir les veines (émossion, t"entends !) et les graphismes (pourtant en Unreal 3) sont en 256 couleurs, le tout boulotté à la va-vite (tu la sens la pöézie, là ?). Bref, faut être un poulpe pour diriger une merde pareille. Evidemment comme c'est frais, la jouabilité est fraîche, très fraîche elle aussi puisqu'il faut contrôler les deux trizos en même temps avec les joysticks et les gâchettes analogiques gauches pour l'un et droites pour l'autre, sans doute parce que l'un vote à droite et l'autre vote à gauche. enfin, c'est ce que l'on suppose vu qu'ils baragouinent une langue fictive sortie d'on ne sait où. Brothers: A Tale of Two Sons Coming to Xbox One This Summer Wednesday, Jby Richard Walker Starbreeze's touching adventure goes current-gen with extras. Pensez donc (ou essayez), deux frérots dont la môman est morte et dont le pôpa est sur le point de claquer, alors les deux chiards vont chercher un rémède et partent à l'aventure. ![]() ![]() Oh la la, ça va pleurnichiarder (de : pleurnicher et : chiard) dans les chaumières des joueurs indés, très prompts à se tirer la virgule sur Oh la la, ça va pleurnichiarder (de : pleurnicher et : chiard) dans les chaumières des joueurs indés, très prompts à se tirer la virgule sur les jeux indés trop frais pleins d'émossion et de pôôézie.
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